Voilà un démenti par l'image de l'idée reçue que le Japon ne produirait pas de ressources alimentaires et que l'intérieur serait couvert de "villages morts". Certes, le Japon importe beaucoup de denrées alimentaires, mais il en exporte aussi, du poisson notamment. Aussi, l'autoproduction est en augmentation constante depuis quelques années, et notamment par des jeunes urbains, soucieux de trouver, à la campagne, un mode de vie plus en harmonie avec la nature.

Et comme d'habitude, les mangakas, à l'affût de tous les faits de société, se sont emparés du phénomène pour en tirer un manga : Les fils de la Terre de Jinpachi Môri et Hideaki Hataji

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