•  Le 27 mars, 3 adultes et 6 élèves de Corotzilla se rendront à l'Opéra de Lille pour entendre le Kagura d’Hayachine.

     Prochaine sortie de Corotzilla 

    Scène de Kagura par Hokusaï

    Mais de quoi s'agit-il exactement ?

    Images cliquables pour les agrandir

    Prochaine sortie de Corotzilla Prochaine sortie de Corotzilla Prochaine sortie de Corotzilla 

    Prochaine sortie de Corotzilla Prochaine sortie de Corotzilla Prochaine sortie de Corotzilla

    Retenu en 2009 sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’Humanité (celle-la même où est inscrite la Famille Gayant, nos géants de Douai), vous en saurez plus sur le Kagura d’Hayachine en lisant ici sa fiche UNESCO

    La fiche Wikipédia nous en apprend plus sur l'origine mythologique de cette danse réservée à l'origine à la cour impériale.

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une vidéo présentant ce spectacle si singulier mélant musique traditionnelle, danse théâtrale et combats chorégraphiés ... le tout interprétés dans des costumes et sous des masques absolument somptueux.

    Un Japon qui en étonnera sans doute plus d'un et qui sera, à n'en pas douter, un point d'orgue de notre année Corotzilla !


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  • L'atelier CorotzillaManga peut-il vous offrir un peu de réconfort ?

    Un peu de réconfort ?


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  • De MF

    Vous connaissez probablement l’excellent manga Bakuman réalisé par les créateurs de Death Note, Tsugumi Ohba et Takeshi Obata. Cette série en cours (13 volumes aux éditions Kana) vous fait découvrir l’univers du… manga ! Ses héros ? Saikô et Shûjin, deux jeunes lycéens qui se lancent dans l’aventure manga avec un rêve : publier leur série puis la voir adaptée en dessin animé. Au fil des épisodes, vous suivez ainsi leur difficile parcours dans un univers où la concurrence est rude. Un manga indispensable pour tous ceux qui veulent découvrir l’envers (l’« enfer » !) du décor. Très réaliste, ce manga vous ouvre en effet les portes des éditions Shueisha et de son célèbre magazine, le Weekly Shônen Jump, qui existent bel et bien, et vous explique les exigences du métier de mangaka.

     

    C’est à présent au tour du dessin animé de sortir aux éditions Kazé !

     

    Plus de détails ici

      


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  • de MF

    Le Salon du livre rend hommage à "Garo", la revue qui révolutionna le genre du manga.

    Excellent ! Une expo organisée par Zoom Japon si j'ai bien compris.

    Cliquez pour la page consacrée sur le site du Salon du livre :

    Expo Garo au salon du livre 2013


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  • Avec MF

    Ceux qui ont dévoré le magistral Alors Belka, tu n'aboies plus, précédent livre de FURUKAWA Hideo, vivent dans l'impatience jubilatoire de la sortie de son dernier ouvrage le 31  janvier, Ô chevaux, la lumière est pourtant innocente.

    Le livre est publié aux indispensables Editions Philippe Picquier et toujours précisément traduit ("transcrit" aurait-il dit) par l'ami Patrick Honnoré.

    Image cliquable vers la page du livre aux Editions Picquier:


    Tous chez vos libraires !

    A la manière d'Alice de Lire le Japon, en voici les premières lignes

    "  Il y a cette scène. Le grand frère et le petit frère. Le grand frère pose une question au petit. Imagine qu’il y a des extraterrestres. Ils sont dans leur OVNI  équipé d’une sorte d’autoradio. Quelle musique tu leur ferais écouter ? Pendant leur vol, qu’est-ce qu’ils écouteraient ? Aucune réponse ne vient à l’esprit du petit frère. Alors le grand tourne sa question autrement. Imagine qu’il y a des extraterrestres. Ils voyagent dans leur OVNI et pendant leur voyage tu aurais le droit de leur faire écouter une seule chanson des Beatles. Quelle chanson tu leur passerais ? Cette fois, le petit frère répond sans hésiter : Strawberry Fields Forever. Comme si ce titre s’imposait par rapport à tout autre. Strawberry Field était le nom d’un orphelinat en Angleterre, à Liverpool, ville côtière et port sur la mer d’Irlande. C’est donc une chanson pour les orphelins. Pas une chanson que chantent les orphelins, une chanson dédiée aux orphelins. J’avais mon atlas ouvert devant les yeux quand je me suis souvenu de cette scène. J’ai retrouvé très clairement l’émotion spécifique de cet épisode. Pas sur la carte de l’Angleterre, absolument aucun rapport avec l’Angleterre ni avec les pays occidentaux.  C’était une carte au 140 000e  et en haut de la page, à Localité, il y avait marqué : Nihonmatsu. Le bourg de Nihonmatsu était situé au centre de la carte. Mais mon regard n’était pas posé sur le centre. Je ne regardais pas le centre mais le nord-est. C’est-à-dire en haut à droite. Au bord de la Nationale 144, il y avait un endroit qui s’appelait Nos Amis les OVNI Museum. Le nom local de la Nationale 144 est Route Tomioka. Dans mon atlas, il y avait une indication en rouge : A proximité du Nos Amis les OVNI  Museum se trouvent l’Allée des OVNI et ses statues d’extraterrestres. J’avais lu. Mes yeux étaient tombés dessus, j’avais lu le nom du musée et l’indication. Et cela avait provoqué en moi le souvenir de la scène. La scène des deux frères. Un instant, il m’est apparu comme une évidence que je devais me rendre là-bas, l’instant d’après j’ai rejeté l’idée avec horreur. Qu’est-ce que j’espérais y voir ? Pendant un instant, de quoi avais-je rêvé ? De statues d’extraterrestres par terre, abattues, effondrées, en poussière ? Que tout soit détruit, et non pas épargné par miracle, en tout cas. J’ai refermé l’atlas.

    Pan ! a dit l’atlas relié. Ou Flap ! peut-être. En tout cas un bruit d’aile de grand oiseau. Je n’ai même pas vérifié si le Nos Amis les OVNI  Museum était situé dans la commune de Fukushima, ou dans celle de Kawamata, ou dans une autre ville ou village. En tout état de cause, il se trouvait au nord de Nihonmatsu. Au nord et à l’est. "

    Et les Editions Picquier vous offrent 50 pages de plus ici


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  • Par Amélia B.

    Le saviez-vous ? Un jeu produit (en partie) par les studios Ghibli est sur le point de sortir en France, autrement dit le 1er février : Ni no kuni : La vengeance de la sorcière celeste.

    Ghibli, version jeu vidéo ! 


    Exclusivement sur ps3, je me hâte pour la pré-commande !

    C'est une édition limitée qu'il ne faut pas rater :
    http://www.jeuxvideo.com/news/2012/00059684-ni-no-kuni-ps3-un-nom-francais-et-une-edition-limitee.htm (c'est un description de l'édition en question)

    Pour le plaisir des yeux ! http://www.ninokunigame.eu/fr.html Quelques vidéos pour un petit aperçu du gameplay, des décors et de la musique par Joe Hisaishi !


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  • De MF :

    Du 22 au 25 mars prochain se tiendra le Salon du Livre de Paris. L’an dernier les lettres japonaises étaient à l’honneur. De nombreux auteurs nippons avaient animé conférences et séances de dédicaces (souvenez-vous ici ).

    Qu’en sera-t-il en mars prochain ? Eh bien réjouissez-vous ! Le site officiel du Salon (http://www.salondulivreparis.com/) annonce d’ores et déjà la présence de plusieurs mangaka japonais, et non des moindres. Vous pourrez ainsi rencontrer INOUE Takehiko, l’auteur des séries Vagabond (éditions Tonkam) et Slam Dunk (éditions Kana) ; NAKAMURA Hikaru à qui l’on doit la série en cours Les Vacances de Jésus et Bouddha (éditions Kurokawa) et qui publia sa première série alors qu’elle était toujours au lycée ! SORYO Fuyumi viendra également présenter ses séries Mars (éditions Panini), ES Eternal Sabbath (éditions Glénat) et Cesare (éditions Ki-Oon) dont les deux premiers tomes sortiront à l’occasion du Salon. Cette série historique très attendue en France retrace le destin de Cesare Borgia. Elle sera accompagnée de HARA Motoaki, coscénariste de la série et spécialiste de littérature et d’histoire italiennes (il prépare actuellement une nouvelle traduction en japonais de La Divine Comédie de Dante). Enfin, vous pourrez aussi rencontrer KAWAKAMI Junko dont le deuxième tome de sa série It’s your world vient de sortir aux éditions Dargaud (Kana), plus de quatre ans après le premier ! Un manga qui devrait nous intéresser puisqu’il raconte l’arrivée en France de Hiroya, 13 ans, et de sa famille. L’auteur vit elle-même dans notre pays depuis plusieurs années (elle dédicaçait son manga à la librairie parisienne Komikku le 19 janvier dernier).                                               Ici http://wp.arte.tv/mangarte/2008/07/04/petite-interview-bilingue-avec-junko-kawakami/ une interview en japonais et en français lors de la Japan expo en 2008.

    A noter également la présence du dessinateur Li Kunwu pour sa série Une vie chinoise (éditions Kana) qui retrace les étapes de la révolution maoïste. Sa nouvelle œuvre Les pieds bandés sortira début mars prochain.

     Salon du livre, bientôt ... Salon du livre, bientôt ...

    Salon du livre, bientôt ... Salon du livre, bientôt ...

    Nous vous communiquerons le planning des rencontres et dédicaces dès qu’il sera publié.

    Vous pouvez déjà noter que le défilé de Cosplay aura lieu le samedi 23 mars à 16h30 !


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  • De MF

    Je vous recommande la lecture du manga de Yoshihiro Yanagawa, Bye bye, my brother, publié chez Casterman dans la collection Sakka. La couverture m’a immédiatement donné envie de le lire. On y voit deux chats à l’allure humaine devant une locomotive à vapeur. Au premier plan, c’est Nido « La Locomotive », ancien boxeur de génie qu’une blessure à la jambe a contraint à abandonner sa carrière. Derrière lui, c’est Shirô, son jeune frère mort beaucoup trop tôt et dont le souvenir ne cesse de le hanter. Car Nido se sent responsable de la mort de ce frère qu’il n’a pu protéger une fois abandonnés par leurs parents. Comment dès lors continuer à vivre quand le passé est si douloureux ? Peut-être en s’occupant de Jirô, un jeune boxeur à l’avenir prometteur.

    En racontant le destin tragique de Nido, Yoshihiro Yanagawa est parvenu à produire une œuvre sensible et attachante qui ne verse jamais dans la mièvrerie. Les émotions des différents personnages sont dépeintes avec une grande justesse. Le message de fraternité délivré par l’auteur n’en est que plus juste. D’un point de vue technique, il est intéressant de noter l’utilisation de feutres à alcool qui produisent des nuances de gris très douces.

    N’hésitez donc pas à découvrir cette œuvre atypique en un seul volume qui a failli ne jamais voir le jour. C’est ce que vous explique l’auteur à la fin de l’ouvrage. Il a essuyé de nombreux refus des éditeurs avant que l’un d’entre eux ne se décide à publier BYE BYE, NIINI. ~NEKO TO KIKANSHA~ (c’est le titre japonais) aux éditions Shogakukan.

    Bonne nouvelle, Yoshihiro Yanagawa nous apprend sur son site http://www.yanagawa-y.com/ qu’il vient de débuter une série adaptée de cette histoire complète !

     

     


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  • Je ne fais pas partie de ces personnes tombées raides-dingues du Japon un jour précis ou dès leur plus jeune âge. Je leur envie leur passion et leur science aiguisée pour ce merveilleux pays.

    Pour ma part, cela s'est fait progressivement, par des lectures et des films perdus parmi d'autres. Un projet scolaire qui nous a conduit à Tokyo en 2010 a sérieusement renforcé ma curiosité et mon intérêt particuliers pour ce pays  !

    Cependant, je peux précisément dater ma première rencontre émotionnelle avec le Japon : c'était en 1983, le film Furyo de Nagisa Oshima venait de sortir et je me suis précipité au cinéma de ma ville pour y voir David Bowie dont j'étais un grand fan y interpréter un des deux rôles titres !

    Le réalisateur de Furyo, Nagisa Oshima, est mort

    Je me souviens très clairement du film et de ses acteurs, Bowie bien sûr mais aussi le magistral Takeshi Kitano (oui oui, le désormais réalisateur). Je me souviens du jour où je l'ai vu et même avec qui !

    Aussi clairement me revient la bande musicale du film composée par Ryuichi Sakamoto. Cette musique, vous la connaissez forcément :


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  • Avec MF

    Deux images assez surprenantes (tout de même pas trop, nous sommes en hiver) nous rapprochent malgré les 10 000 km.

    A Tokyo, ce sont les jeunes filles en kimono fêtant le jour de la majorité (Seijin no hi) qui se sont faites surprendre par la neige ...

    Tolkyo comme Douai, sous la neige

     

    ... à Douai, ce sont les sakuras de la place Carnot ! (images cliquables)

    Tolkyo comme Douai, sous la neige Tolkyo comme Douai, sous la neige

    Tolkyo comme Douai, sous la neige

    Et on n'oublie pas notre cher vieux lycée Corot

    Sous la neige, ... à Tokyo comme à Douai


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